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On voulait faire un vrai atelier
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On voulait faire un vrai atelier
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On voulait faire un vrai atelier
A Nantes existe depuis 30 ans une association, l’Atelier mécanique, qui a mis les mains dans le camboui pour construire l’autogestion au jour le jour. Pas toujours facile, certes, mais une vraie réussite, qui démontre qu’une Alternative au monde productiviste, hiérarchisé peut se vivre. Bien entendu, tout n’est pas rose... des questions liées à l’engagement participatif, aux nécessités financières impose de rechercher de nouvelles réponses pour ne pas rester un îlot alternatif dans un océan capitaliste.
Le livre “On voulait faire un vrai atelier, récit d’une utopie collective” retrace des fragments de vie de cette association : “un livre rare dont les héros se cachent derrière un arbre à cames parfaitement bichonné. C’es tle récit incarné d’une utopie collective nantaise, au cœur d’une cour des miracles de l’automobile. Au fil de la lecture, on y croise pêle-mêle Maurice, une clé de trois et demi, Angélique, une clavette lunatique, Paulette et des poulets yassa, ou encore Caroline et un pied à coulisse bling-bling. Il y a aussi ma tante et des permanents éternels dans des fosses individuables. N’oublions pas les bisous, les haïkus, l’univers aux multiples facettes, la cafetière généreuse et Gino.”
Présentation
À L’Atelier, l’année 2011 a été marquée par les festivités organi- sées pour l’anniversaire des trente ans de l’association.
À cette occasion, l’idée fut lancée d’écrire l’histoire de L’Atelier ou, en tout cas, de laisser une trace écrite pour transmettre aux nouvelles générations d’adhérents et de permanents l’histoire, les idées et les valeurs fondatrices de 1981. Sans doute sentait-on alors que L’Atelier aborderait bientôt un tournant de son histoire et qu’il pourrait avoir besoin de puiser la sève originelle de ses racines et comprendre ainsi ses propres pratiques pour continuer sa belle histoire humaine. À cette époque il y eut également, un soir d’automne, une ren- contre entre Alexander et Roland qui déclencha le long enchaînement conduisant à ce livre. Roland, un des deux plus vieux permanents de l’association, voulait coucher sur le papier tout ce qui, pour lui, faisait L’Atelier et définissait son engagement personnel dans cette aventure. Alexander, adhérent de l’association, prit plaisir à l’aider pour fluidi- fier sa parole dans l’encre d’une page, tant il aime l’écriture et ce qu’elle implique pour celui qui tient le stylo ; c’est ainsi que fut écrite la lettre de Roland (qui figure en annexe de ce livre). Si Roland avait été moribond et Alexander notaire, les choses en seraient restées là, mais les deux personnages avaient si bien apprécié cette soirée magique qu’ils eurent envie de la partager. Ils en parlèrent alors à Jean-Jacques, le deuxième plus vieux permanent de l’association, également fondateur de L’Atelier. L’idée fut de donner corps à cette envie, de la prolonger en invitant les adhérents qui le voudraient bien à participer à un atelier d’écriture dont le sujet serait l’association L’Atelier. Cela dans le cadre de la célébration des trente ans.
Ils l’ignoraient sans doute, mais ces trois-là venaient de trouver un moyen pour incarner ce besoin exprimé, celui de garder à l’esprit ce qui fait L’Atelier depuis le commencement.
Ainsi fut fait, et la première invitation fut lancée sur la Toile par Alexander ; elle reçut assez de réponses pour que l’atelier d’écriture commençât sous sa houlette1. Aux trois premiers se joignirent Danielle, Frédéric, Nicolas et Aurélie, puis, un peu plus tard, Annick. Ce fut alors, une nouvelle fois, un autre morceau de cette histoire collective qui trouva à redire dans les tréfonds de ce drôle de repaire aux mille et une fenêtres. Par la suite, ce fut Nicolas qui fabriqua méti- culeusement des petites invites bien senties2. Les réunions eurent lieu pour la plupart dans la cuisine de L’Atelier, aussi ne vous étonnez pas
Au début, personne ne savait trop ce qu’allait donner cette expérience, assez éloignée quand même de ce que les adhérents que nous étions étaient censés faire à L’Atelier. Nous ne savions pas encore tous qu’ainsi commencent les plus belles choses à L’Atelier depuis trente ans : on se dit que c’est possible, on a envie de le faire, on essaye sans s’effrayer parce qu’on ne l’a jamais fait et on finit par réussir grâce à une pratique collective qui a construit la motivation du groupe et qui transcende les motivations individuelles. C’était là le génie de l’idée : résoudre un problème ardu (trouver « l’essence de L’Atelier » !) à la manière de L’Atelier et à travers (comme par hasard...) un autre atelier. L’adhérent néophyte et ignorant de la mécanique réussit toujours à s’en sortir à L’Atelier, car tous les ingrédients sont réunis pour que ça marche. L’atelier d’écriture a eu aussi cette chance, bien qu’aucun d’entre nous ne soit écrivain. Nous étions au cœur du lieu dont on voulait parler, nous avions parmi nous Jean-Jacques et Roland, les deux permanents à l’origine de L’Atelier, et nous avions la compétence d’Alexander pour nous accompagner dans une démarche d’« éducation populaire » qui consiste à produire une histoire de vie collective. Ainsi les mécanismes en jeu dans le grand Atelier pouvaient résonner dans le petit.
Le reste s’est fait au fil du temps et des consignes d’écriture que nous nous sommes forgées. Il reste évidemment des traces de ces consignes dans ce livre ; vous pourrez vous amuser à les découvrir, ce qui sera parfois facile comme dans cette page où l’on trouve quatre fois le mot « bling-bling ». Figurez-vous qu’il s’agissait d’un mot imposé ce jour-là... La lecture de nos propres textes lors des ateliers, comme le font si bien Danielle et Frédéric, nous a transportés de surprise en surprise, et nous avons vraiment apprécié ces moments privilégiés. Vous com- prendrez ce que je veux dire lorsque vous aurez lu l’histoire d’Aurélie et de son camion vert.
Ce livre a failli s’appeler Encarnación parce que nous croyons qu’il y a réellement quelque chose de L’Atelier dans ces pages ; mais ça ne faisait décidément pas un bon titre...
Il y a encore beaucoup d’histoires à raconter sur ces soirées du mardi, bien sûr, et vous en devinerez quelques-unes en lisant les pages de ce livre.

Ce produit a été ajouté à notre catalogue le jeudi 20 octobre 2011.
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